Pourquoi cette plateforme?

 L'artisanat d'art est l’héritage de savoir-faire précieusement élaborés au fil des siècles.

 La France est au premier rang de l'artisanat d'art, avec un patrimoine unique et méconnu, qui répertorie quelque 218 savoir-faire d'excellence. 

 Or, ce sont aussi – et surtout – des domaines ouverts à la création et à l'innovation. Le profil de l'artisan d'art est en pleine transformation et la nouvelle génération revendique l'hybridation des matières et des techniques. 

 Ce patrimoine immatériel fait partie de notre culture. Il est riche d’une étonnante diversité d’hommes et de pratiques. Un terreau bien vivant en perpétuelle évolution. Porteur d’histoire et d’innovation, l'artisanat d'art représente une ressource infinie pour tous les créateurs.

 Patrimoine de nos régions, les métiers d’art participent au dynamisme des territoires. Vitrine d’excellence, ils contribuent au rayonnement de la France à l’étranger. L'artisanat d'art symbolise un certain art de vivre à la française qui représente un véritable atout pour les territoires en termes de développement et d’attractivité touristique.

 Le défi de la formation à l'artisanat d'art

Pour assurer la relève, il faut favoriser la transmission.

 Jeunes et adultes en reconversion, passionnés, manuels et créatifs peuvent ainsi se forger une culture et se réapproprier les savoir-faire. Transmission, passion, innovation, esprit d’entreprise… l'artisanat d'art est porteur de développement humain.

 Métiers manuels et métiers artistiques, ils suscitent sans cesse de nouvelles vocations.

 Métiers d’hier et d’aujourd’hui, les métiers d’art sont surtout des métiers de demain, mais ils peuvent être aussi simplement un loisir, une passion captivante et passionnante dans laquelle on peut trouver un épanouissement personnel.

 L’accroissement du nombre d’élèves auprès des Maîtres d'art est essentiel pour le maître, qui s’implique au plan pédagogique tout en continuant à assurer la poursuite de son œuvre ; pour l’élève, qui apprend bien plus qu’un simple travail ; et pour la sauvegarde d’un patrimoine national afin que ne se perde pas la « mémoire du geste ».